31/01/2011

SOCIAL | France-Handicap-Info

SOCIAL | France-Handicap-Info

réforme de la pénibilité : les associations et les syndicats inquiets à juste titre !

DISCRIMINATION | France-Handicap-Info

DISCRIMINATION | France-Handicap-Info

DISCRIMINATION

Le Collectif les Amis d’Éléonore saisis la HALDE pour atteinte a la dignité des personnes trisomique

REFORME DE LA DÉPENDANCE | France-Handicap-Info

REFORME DE LA DÉPENDANCE | France-Handicap-Info
l'UNAPEI à la manoeuvre : dommage de pas se battre pour la prise en charge de la perte d'autonomie à tous les âges...

SCIENTIFIQUE | France-Handicap-Info

SCIENTIFIQUE | France-Handicap-Info
le pole Presto sur la Langue des Signes

Déclaration européenne des professionnels de santé pour un accès aux soins sans discrimination

Déclaration européenne des professionnels de santé pour un accès aux soins sans discrimination

à signer et relayer

Les médecins soutiennent le droit au séjour pour soins | Le Quotidien du Medecin

Les médecins soutiennent le droit au séjour pour soins | Le Quotidien du Medecin
une info rassurante

Les 77 médicaments sous surveillance - L'EXPRESS

Les 77 médicaments sous surveillance - L'EXPRESS

Réseau Lucioles

Réseau Lucioles
sommeil et handicap mental sévère

signalétique et malvoyance

SIGNALETIQUE ET MALVOYANCE (info CFPSAA)

Déclaration de l’ANEC  sur les nouvelles normes d’accessibilité visuelle  des panneaux et des fléchages pour les personnes malvoyante. Une nouvelle étude de l’ANEC (Association européenne pour la coordination de la représentation des consommateurs dans la normalisation) a démontré que  la taille des pictogrammes, des symboles, des icônes et des textes utilisé dans les lieux publics tels que les aéroports, les stations de métro et  les centres commerciaux devrait être équivalente à au moins 5 % de la Distance de Lecture Critique (DLC) pour que la majorité des utilisateurs, y compris les personnes atteintes d’une déficience visuelle, puissent les  distinguer.  L’intensité de contraste optimale, mais pas maximale, se situe aux  alentours des 75 % sur l’axe noir et blanc. Selon une nouvelle étude, menée par l’Université de Gand (Belgique), il est évident que l’interaction entre la taille et le contraste doit être prise en considération lors de l’élaboration de> directives sur l’accessibilité visuelle dans les lieux publics.



 Actuellement, en Europe, il n’existe aucun accord sur la hauteur des caractères des textes et des symboles, le contraste de l’avant-plan  de l’arrière-plan, la couleur, la distance de lecture, la localisation, la luminosité et la lisibilité des panneaux dans les lieux publics.  L’étude a également permis d’identifier les prochains défis que  devrons relever pour garantir une bonne localisation et une bonne identification  des> panneaux car il s’agit là de deux éléments essentiels à l’indépendance et  à la mobilité des personnes. Cependant, alors que l’identification est acceptable à partir de 5 % de la DLC et que celle-ci connaît peu d’amélioration passé ce seuil, la localisation peut être améliorée jusqu’à 9 % de la DLC Contexte Dans les pays de l’Union Européenne, l’espérance de vie continue à augmenter. Selon les prévisions d’Eurostat, au sein de l’UE, la proportion des personnes âgées de plus de 80 ans devrait passer de 4,1% en 2005 à 6,3  en 2025, avant d’atteindre 11,4 % en 2050. Cela modifiera considérablement l’équilibre entre la population active et les retraités en Europe. Par conséquent, le nombre de personnes atteignant l’âge où commencent les problèmes de vue augmente. Actuellement, certains problèmes tels que les dégénérescence maculaires sont de plus en plus fréquentes. Par ailleurs, les gens se déplacent davantage, même passé un certain âge. Cette population âgée a souvent un fort pouvoir d’achat et est donc amenée à voyager plus fréquemment que les autres. Toutefois, l’aménagement de nos espaces est devenu de plus en plus  complexe car de plus en plus de panneaux et de fléchages sont utilisés à  l'intérieur et autour des lieux publics à des fins d'information, de conseil, d’identification ou de sécurité. De plus en plus de personnes ayant des problèmes de vue,  et plus particulièrement des personnes âgées, ont du mal à trouver leur  chemin dans les lieux publics. Malgré le besoin évident de répondre aux besoins  de ces personnes, il n’existe aucune norme et aucun règlement européen sur l’accessibilité visuelle des panneaux d'information dans les lieux publics.  Par conséquent, l’ANEC a demandé la réalisation d’une étude dont le but était de dresser une vue d’ensemble des normes nationales (lorsqu’elles existent) concernant la signalétique dans les pays de l’UE. Les données dans le cadre de l’étude, portant sur l’identification et la localisation des panneaux. Des recommandations ont été formulées sur la taille des panneaux (mots, abréviations et icônes) dans les lieux publics et sur l’intensité  du contraste des éléments constituant un mot, une abréviation ou une icône (contraste entre éléments d'un panneau et ses alentours immédiats. Principaux résultats de l’étude  L'étude, qui se concentre sur les facteurs tels que hauteur des  des textes et des symboles, contraste entre avant-plan et arrière-plan couleur, distance de lecture, localisation, luminosité et la lisibilité,  démontre qu'au sein de l’UE les normes relatives à l’accessibilité visuelle varient. Les recommandations sur la taille des panneaux dans les lieux publics diffèrent significativement d’un pays à un autre, allant de 1,5 à  6% de la Distance de Lecture Critique, distance à partir de laquelle les lettres et les symboles peuvent être distingués par les personnes ayant  des des les pays s’efforcent de donner à la signalétique un  contraste maximal.

 Quarante deux volontaires (40 personnes ayant des problèmes de vue et 2 personnes chargées du contrôle de l’étude) ont participé à la partie
pratique. Lors de la première expérience, ils ont été invités à identifier des panneaux de différentes tailles et de différentes intensités de contraste, présentés sous le même angle par rapport au centre de leur  champ de vision. Lors de la seconde expérience, il leur a été demandé de rechercher un panneau en particulier dans un endroit très fréquenté, comme un hall de gare, puis de l’identifier. Les durées ainsi que la précision  des réponses ont été enregistrées Les résultats liés à la taille des panneaux ont démontré que la taille des textes et des symboles figurant sur les panneaux devait être équivalente à au moins 5 % de la DLC. La performance optimale, mais pas maximale, a été observée alors que l’intensité de contraste était proche des 75 % sur l’axe noir et blanc. Au vu des résultats de cette étude, et étant donné l’interaction entre taille et contraste, il est évident que ces deux facteurs ne peuventpas être pris en considération indépendamment l’un de l’autre lors de l’élaboration de directives liées à l’accessibilité visuelle dans les lieux public Conclusions de l’ANEC - Actuellement, le nombre de personnes malvoyantes est estimé à 13  millions en Europe, et à 125 millions dans le monde. La nécessité de permettre ces personnes de se déplacer de façon indépendante paraît donc évidente - La taille des textes des panneaux devrait être équivalente à au moins 5  % de la Distance de Lecture Critique pour la population malvoyante en  général, mais la familiarité avec les panneaux semble également jouer un rôle important - Il est important de s’accorder sur le but de toute future norme car localisation et identification des panneaux sont deux éléments essentiels  à l’indépendance et à la mobilité. Cependant, alors que l’identification est acceptable à partir de 5 % de la DLC et qu'elle connaît peu d’amélioration passé ce seuil, la localisation peut être améliorée jusqu’à 9 % de la DLC - Des recherches complémentaires sont à mener afin d’évaluer les besoins spécifiques des personnes malvoyantes, étant donné l’importante hétérogénéité de celles-ci quant à l’acuité visuelle et aux limites du  champ de vision La localisation joue également un rôle important. Une bonne localisation permet d’accroître la lisibilité. Cet élément doit être pris en considération dans les directives. Parfois, les panneaux sont grands mais ils sont mal placés et sont dirigés vers le ciel ou vers un mur. La  logique des panneaux se succédant le long d’un itinéraire est également très importante pour les personnes déficientes visuelles, et il doit y avoir suffisamment de panneaux pour aider les personnes à trouver leur chemin - Pour répondre aux besoins des personnes atteintes d’autres déficiences visuelles (la cécité, par exemple), il faut recourir à des indicateurs de surface tactiles et diffuser des informations sur les lieux publics sur formats accessibles - L’ANEC estime que les principaux résultats de cette étude doivent être considérés comme le point de départ pour l’élaboration de recommandations,
 qui pourront par la suite conduire à la création d’une norme européenne  sur la lisibilité des panneaux et des fléchages dans les lieux publics. Ces recommandations doivent inclure des exemples de bonnes pratiques en guise  d’information Le rapport final de l’étude peut être consulté à l'adresse internet  ci-après 
www.anec.eu/anec.asp?rd=77474&ref=07-01.01-01&lang=en

jurisprudence récente sur l'accessibilité

JURISPRUDENCE RECENTE (info du CFPSAA)


1er juillet 2010 : La Cour administrative d'appel de Lyon, Arrêt n°09LY00079 du 1er juillet 2010 a annulé un Schéma directeur d'accessibilité (SDA) pour examen inapproprié des impossibilités techniques avérées. La Cour a certes reconnu qu'une impossibilité financière pouvait constituer une impossibilité technique mais elle a sanctionné l'autorité organisatrice des transports en raison de sa méthode d'évaluation des impossibilités techniques avérées : l'impossibilité financière ne doit pas être examinée de manière globale, sur l'ensemble des points d'arrêts. Au contraire, il convient, pour chacun des points d'arrêts, d'étudier si le coût d'aménagement de cet arrêt est "manifestement disproportionné par rapport au coût constaté habituellement en la matière". Un pourvoi a été déposé devant le Conseil d'Etat

(FAF) COMMUNIQUE : TESTS SUR L’ÉVALUATION DES SONS POUR LA SONORISATION DES VÉHICULES ÉLECTRIQUES – FÉVRIER 2011

La  Fédération des Aveugles de France (FAF) COMMUNIQUE : TESTS SUR L’ÉVALUATION DES SONS POUR LA SONORISATION DES VÉHICULES ÉLECTRIQUES – FÉVRIER 2011


Lieux concernés : États-Unis d’Amérique – Union Européenne.
Pour l'Union Européenne, la France et Paris ont été choisis.

Objet : Définir un son qui permette de repérer le déplacement des véhicules électriques. Le développement des véhicules à moteur hybride ou à moteur électrique pose de plus en plus de problèmes de sécurité pour les piétons au niveau des traversées de rue. C’est pourquoi début 2010, les constructeurs automobiles ont décidé d’intégrer à ces véhicules un son « artificiel » (numérique).

Objectifs : Ces tests ont 2 objectifs principaux :
-       définir comme signal d’alerte pour les piétons un son qui soit audible ;
-       déterminer s’il est nécessaire de mettre en place un son différent selon que le véhicule avance ou recule.

Conditions de déroulement : les tests sont organisés en laboratoire. Les personnes déficientes visuelles écouteront des sons enregistrés via des hauts parleurs ou des casques. Différentes combinaisons sonores seront proposées.

Dates : les 7 et 8 février 2011 de 09 heures à 18 heures 15 à l’Institut de la Vision au 17 rue Moreau – 75012 PARIS.

Afin de mener à bien ces tests, nous recherchons des personnes volontaires, de tout âge, non voyantes et malvoyantes pouvant se libérer sur une durée de 1 heure 15 environ.

Si vous êtes intéressé(e), contactez le Service FAF Access Formation au : 01.44.42.91.95, ou envoyez un message avec vos coordonnées à : secretariat.access@faf.asso.fr

"Le Mediator a tué mon mari" - Haute-Garonne : Ladépêche.fr

"Le Mediator a tué mon mari" - Haute-Garonne : Ladépêche.fr
mon comm : J'ai l'impression qu'après avoir ignoré les dangers du Mediator, on est passé maintenant à l'excès contraire où tous les patients qui en ont pris se disent malades d'en avoir pris, ce que ne serait pas conforme à la réalité statistique
il faut réformer l'autorisation des médicaments et virer les labos de la formation et des choix mais faut pas non plus tomber dans l'hystérie collective....

Médicaments : le député Bapt (PS) dénonce des conflits d'intérêts - Société - Nouvelobs.com

Médicaments : le député Bapt (PS) dénonce des conflits d'intérêts - Société - Nouvelobs.com
souhaitons que Gérard Bapt tienne bon...

Faire vivre la Halde - SudOuest.fr

Faire vivre la Halde - SudOuest.fr

La Gazette Santé Social - Actualité - Actualité "A la Une" - Rapport Igas/IGF : les associations restent sur leur faim

La Gazette Santé Social - Actualité - Actualité "A la Une" - Rapport Igas/IGF : les associations restent sur leur faim
j'ai du mal à comprendre que rien ne soit fait pour pérenniser un secteur indispensable aux personnes handicapées et âgées, qui peut employer beaucoup de monde, et il faut former et qualifier ces personnels : quel gâchis à cause de raisonnement à courte vue !

30/01/2011

La mission commune d'information du Sénat sur la prise en charge de la dépendance examine son rapport final

La mission commune d'information du Sénat sur la prise en charge de la dépendance examine son rapport final
28/01/11 - Mercredi 26 janvier, la mission commune d'information du Sénat sur la prise en charge de la dépendance et la création du cinquième risque a présenté ses conclusions et examiné son rapport final. La mission propose de recourir au patrimoine des personnes âgées après leur décès pour financer la prise en charge de la dépendance, annoncent Les Échos (27-1). Selon le quotidien économique, "l'idée serait de prélever une fraction du patrimoine des personnes âgées les plus aisées lorsqu'elles touchent l'APA. La personne aurait le choix entre deux solutions au moment où elle devient dépendante. Si elle souhaite transmettre l'intégralité de son patrimoine, elle ne toucherait que la moitié de l'APA. Si elle veut bénéficier de l'allocation à 100 %, on prélèverait 20 000 euros au maximum après son décès sur son patrimoine, au-delà d'un seuil compris entre 150 000 et 200 000 euros". Les sommes recueillies permettraient de prendre en charge la dépendance de ceux qui en ont le plus besoin. "Conscient que cette proposition est controversée, indiquent Les Échos, les sénateurs soulignent que l'APA resterait universelle, que le gage ne concernerait pas les résidents des maisons de retraite et qu'il resterait limité puisqu'il représenterait au plus 15 % de la succession". L'APA de devrait pas être supprimée pour les personnes en GIR 4 au nom de la prévention. Les autres pistes explorées portent le développement du recours volontaire aux assurances privées (sans obligation) avec une aide publique à la souscription pour les plus démunis. La mission veut faciliter la réorientation de l'assurance-vie et de l'épargne-retraite vers la dépendance et propose l'inclusion de la garantie dépendance dans les complémentaires santé.
Ce rapport alimentera la réflexion des groupes de travail mis en place par le gouvernement afin de préparer la réforme promise pour l'automne.
> Dépendance : le patrimoine des personnes âgées dans le viseur
http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201102463687.htm
> Rapport d'information n° 263 de M. Alain VASSELLE, fait au nom de la Mission commune d'information sur la prise en charge de la dépendance et la création du cinquième risque (Ce document n'est pas encore disponible au format électronique)

Le Figaro - Conjoncture : Pénibilité : les conditions de départ à 60 ans sont connues  

Le Figaro - Conjoncture : Pénibilité : les conditions de départ à 60 ans sont connues
inquiétant : des critères très limités

Le Figaro - Conjoncture : L'activité de chaque hôpital pourrait être plafonnée 

Le Figaro - Conjoncture : L'activité de chaque hôpital pourrait être plafonnée
"Les hôpitaux dépensent trop? Il suffit de leur fixer un quota d'activité et de les sanctionner en cas de dépassement. Voilà la réponse imaginée par la Direction générale de l'offre de soins (DGOS) du ministère de la Santé"
mon comm : les patients ont intérêts à être moyennement malades !

Agevillage: Santé, Personnes âgées et personnes handicapées : approches de la sexualité

Agevillage: Santé, Personnes âgées et personnes handicapées : approches de la sexualité

livret_avc.pdf (Objet application/pdf)

livret_avc.pdf (Objet application/pdf)
information et programme d'exercices dans les suites d'un AVC : pour les professionnels et les patients
mon comm : de plus en plus de victimes d'AVC et beaucoup de perte d'autonomie

8 chiffres à connaître pour prévenir l'infarctus - L'Internaute Santé

8 chiffres à connaître pour prévenir l'infarctus - L'Internaute Santé
et conseils pratiques

Antibiotiques : l’enquête qui accuse les médecins ! - Destination Santé

Antibiotiques : l’enquête qui accuse les médecins ! - Destination Santé
faisons cesser les visites des labos aux médecins et leur immixtion dans la formation initiale et continue !

CTIP : Dépendance

CTIP : Dépendance

La dépendance en Europe : une mosaïque inachevée

Les ARS ont achevé le découpage des territoires de santé version 2011

dans annuaire-secu
 
Les ARS ont achevé le découpage des territoires de santé version 2011

26/01/11 - Les agences régionales de santé, à l'exception de celle de la Martinique, ont arrêté leur organisation en territoires de santé. Le nouveau découpage apporte de profonds changements. Sur les 26 régions de métropole et d'outre-mer, seules trois régions conservent leur découpage antérieur (en l'occurrence un découpage départemental), précise un communiqué présent sur le portail des ARS. Ce découpage sous la houlette des ARS s'est fait sur la base d'une dizaine de critères communs à l'ensemble des régions. Ces territoires, qui passent de 159 (dans le cadre du Sros III) à 107 aujourd'hui, serviront également de cadre aux missions des ARS dans le secteur médicosocial. La population moyenne de chaque territoire passe ainsi de 374 000 à 605 000 habitants, tandis que l'écart entre le territoire le plus peuplé et celui le moins peuplé se réduit. Aucune ARS n'a utilisé la possibilité de territoires de santé régionaux et encore moins supra régionaux, pourtant prévue par la loi HPST. Localtis.info résume que "neuf régions qui disposaient jusqu'alors d'un découpage infra-départemental ont choisi un découpage calqué sur les départements, cinq autres ont retenu un nombre de territoires de santé inférieur à celui des départements de la région, et neuf régions ont choisi ou maintenu un découpage infra-départemental sur tout ou partie de la région".
> Communiqué ARS : http://www.ars.sante.fr/Les-ARS-ont-arrete-leurs-terri.104153.0.html 
> La dépêche Localtis.info :
http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250261119234&cid=1250261116684

La réparation du préjudice permanent subi par les victimes d'AT/MP en Europe

dans annuaire-secu.com
 
La réparation du préjudice permanent subi par les victimes d'AT/MP en Europe

25/01/11 - EUROGIP publie une nouvelle étude sur les principes de réparation des préjudices permanents subis par les victimes d'accidents du travail et de maladies professionnelles en Europe, basée sur les résultats de deux cas pratiques soumis aux organismes d'assurance AT/MP dans une dizaine de pays européens. L'étude comparée des prestations octroyées aux victimes a permis de classer les états en 2 groupes. Le 1er groupe composé de l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, la France et l'Italie, indemnise les préjudices permanents de manière globale. C'est théoriquement la perte de capacité de gain de la victime qui est réparée, généralement sous la forme d'une rente dont le montant est lié au salaire de la victime. Le second groupe - Danemark, Finlande, Luxembourg, Suède et Suisse - répare de manière parfaitement distincte le préjudice économique subi par la victime, généralement sous la forme d'une rente, et les préjudices extrapatrimoniaux (dommage physiologique, le cas échéant douleur… , sous la forme d'un capital. Deux logiques qui comporte des avantages et des inconvénients.
> Rapport “Réparation du préjudice subi par les victimes d'accidents du travail et de maladies professionnelles en Europe, 53 pages, à télécharger sur :
http://www.eurogip.fr/fr/docs/Eurogip_NoteRPP_59F.pdf

la « Sécu » ne reconnaît pas. En arrêt maladie, la jeune femme n'a pu toucher ses indemnités. - CGT-FO -Force Ouvrière- Info- Travail -Handicap

la « Sécu » ne reconnaît pas. En arrêt maladie, la jeune femme n'a pu toucher ses indemnités. - CGT-FO -Force Ouvrière- Info- Travail -Handicap

SolHandi - Emilie Jolie

SolHandi - Emilie Jolie
Le 20 février spectacle à côté de Toulouse au profit de Solhandi qui aide les handicapés à l'étranger

PERSONNES HANDICAPÉES : DES LIEUX DE VACANCES ADAPTÉS

PERSONNES HANDICAPÉES : DES LIEUX DE VACANCES ADAPTÉS

29/01/2011

La HALDE met une pétition en ligne pour rester une autorité administrative indépendante et autonome | HANDIMOBILITY

La HALDE met une pétition en ligne pour rester une autorité administrative indépendante et autonome | HANDIMOBILITY
pour

Mais c'est un Homme… | Appel contre les soins sécuritaires

Mais c'est un Homme… | Appel contre les soins sécuritaires

pjapsy.pdf (Objet application/pdf)

pjapsy.pdf (Objet application/pdf)
jeunes et adultes en psychiatrie : une étude sur les vécus, besoins, violences, soutiens

- Pétition pour faire connaître la C.C.S.V.I. - (dans le cadre de la SEP) - Pétition En Ligne

- Pétition pour faire connaître la C.C.S.V.I. - (dans le cadre de la SEP) - Pétition En Ligne

Vers une meilleure mesure du coût de la santé pour les ménages ? - LeMonde.fr

Vers une meilleure mesure du coût de la santé pour les ménages ? - LeMonde.fr

Le Comité d’entente refuse de poursuivre la concertation face à la volonté du gouvernement d’introduire la règle du « décideur-payeur » pour l’attribution de l’AAH : Réflexe Handicap

Le Comité d’entente refuse de poursuivre la concertation face à la volonté du gouvernement d’introduire la règle du « décideur-payeur » pour l’attribution de l’AAH : Réflexe Handicap
le gouvernement amplifie ses attaques contre les plus fragiles : à quand la révolte ?
merci de diffuser l'info

Carnets de santé

Carnets de santé
Autisme : réponse de Michel Favre à Pierre Delion- janvier 2008
mon comm : on attend toujours que Delion publie ses résultats du packing sur l'autisme....

Carnets de santé

Carnets de santé

extrait : "La théorie psychanalyste appliquée à l’autisme a eu, et a encore, des conséquences dramatiques. En 1994, Frances Tustin écrit : « Il est nécessaire de réfléchir sur une erreur commise par de nombreux psychanalystes, y compris moi-même. Décidément, il n’existe pas un stade infantile normal d’autisme vers lequel soit possible une régression qui explique la causalité de l’autisme infantile… Telle a été l’hypothèse principale sur la causalité de l’autisme soutenue par de nombreux médecins psychanalystes…Cette hypothèse erronée, basée sur des préliminaires imparfaits, est devenue une sorte de virus invasif, car il a pénétré et déformé les formulations cliniques et théoriques… Malgré notre gratitude envers Freud et envers son œuvre sans laquelle les psychanalystes n’existeraient pas, une loyauté aveugle et dépourvue de discussion envers lui peut être un obstacle. En ce qui concerne la cause de l’autisme infantile non dû à un dommage cérébral, cette fidélité a perpétué une erreur » (8). Quinze ans plus tard, en France, l’erreur, et l’horreur, continuent à se perpétuer."

Vaucluse Le combat réussi d'une famille contre l'autisme - Villages - Midi Libre

Vaucluse Le combat réussi d'une famille contre l'autisme - Villages - Midi Libre

28/01/2011

JMS 2010 : lettre ouverte à Bart de Wever et consorts...

JMS 2010 : lettre ouverte à Bart de Wever et consorts...
la langue des signes rapprochent les belges....

Position du Professeur Bernadette Rogé sur le packing

Position du Professeur Bernadette Rogé sur le packing
packing pas adapté à l'autisme !

Comment le Sénateur About a étouffé le scandale des collusions pharmaceutiques - AgoraVox le média citoyen

Comment le Sénateur About a étouffé le scandale des collusions pharmaceutiques - AgoraVox le média citoyen

Comment l'histoire se répète sans fin et pourquoi je ne crois plus Xavier Bertrand quand il prétend lutter contre les conflits d'intérêts dans le milieu médical alors qu'il faisait la même promesse il y a moins de 5 ans ! à lire !

Les calendriers du report de l'âge légal de départ à la retraite à partir du 1er juillet 2011 (régime général et régimes alignés) dont retraite anticipée TH

Les calendriers du report de l'âge légal de départ à la retraite à partir du 1er juillet 2011 (régime général et régimes alignés) 
 
 info de Bruno CREMONT
 
Les conditions de mise en œuvre du relèvement progressif de l'âge légal d'ouverture du droit à une pension de retraite dans le régime général et les régimes alignés sont précisées par le décret n° 2010-1734 du 30 décembre 2010 publié au Journal officiel du 31 décembre 2010. Voici le détail des calendriers des nouvelles modalités concernant : le report progressif de l'âge légal de départ à la retraite de 60 à 62 ans, la retraite anticipée pour carrière longue, et la retraite anticipée pour les travailleurs handicapés.

ÂGE DE DÉPART À LA RETRAITE SELON L'ANNÉE DE NAISSANCE

Un assuré peut partir à la retraite, s'il est né :
- avant le 1er juillet 1951 à 60 ans (sans changement),
- entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1951 inclus à 60 ans et quatre mois,
- en 1952 à 60 ans et huit mois,
- en 1953 à 61 ans,
- en 1954 à 61 ans et quatre mois,
- en 1955 à 61 ans et huit mois,
- à compter du 1er janvier 1956 à 62 ans.

Ces dispositions sont applicables aux pensions prenant effet à compter du 1er juillet 2011.

Pour bénéficier d'une retraite à taux plein, l'assuré doit disposer d'une durée d'assurance, s'il est né :
- en 1951 de 163 trimestres,
- en 1952 de 164 trimestres,
- en 1953 et 1954 de 165 trimestres.

RETRAITE ANTICIPÉE POUR CARRIÈRE LONGUE (Un assuré qui a commencé à travailler très jeune peut partir à la retraite) :
 
s'il est né avant le 1er juillet 1951 :
- à 56 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 171 trimestres cotisés,
- à 58 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 167 trimestres cotisés,
- à 59 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 17 ans et justifie d'au moins 163 trimestres cotisés,
 
s'il est né entre le 1er juillet 1951 et le 31 décembre 1951 inclus :
- à 56 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 171 trimestres cotisés,
- à 58 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 167 trimestres cotisés,
- à 59 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 17 ans et justifie d'au moins 163 trimestres cotisés,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie d'au moins 163 trimestres cotisés,

 s'il est né en 1952 :
- à 56 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 172 trimestres cotisés,
- à 58 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 168 trimestres cotisés,
- à 59 ans quatre mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 17 ans et justifie d'au moins 164 trimestres cotisés,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie d'au moins 164 trimestres cotisés,
 
s'il est né en 1953 :
- à 56 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 173 trimestres cotisés,
- à 58 ans quatre mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 169 trimestres cotisés,
- à 59 ans huit mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 17 ans et justifie d'au moins 165 trimestres cotisés,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie d'au moins 165 trimestres cotisés,

s'il est né en 1954 :
- à 56 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 173 trimestres cotisés,
- à 58 ans huit mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie d'au moins 169 trimestres cotisés,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie d'au moins 165 trimestres cotisés,

s'il est né en 1955 :
- à 56 ans huit mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de huit trimestres,
- à 59 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de quatre trimestres,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein,

s'il est né en 1956 :
- à 56 ans huit mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de huit trimestres,
- à 59 ans quatre mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de quatre trimestres,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein,

s'il est né en 1957 :
- à 57 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de huit trimestres,
- à 59 ans huit mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de quatre trimestres,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein,

s'il est né en 1958 :
- à 57 ans quatre mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de huit trimestres,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein,

s'il est né en 1959 :
- à 57 ans huit mois s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de huit trimestres,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant 18 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein,

s'il est né à compter du 1er janvier 1960 :
- à 58 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 16 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein majoré de huit trimestres,
- à 60 ans s'il a débuté sa carrière avant l'âge de 18 ans et justifie, au moins, du nombre de trimestres nécessaire pour le taux plein.
 
 
RETRAITE ANTICIPÉE POUR LES TRAVAILLEURS HANDICAPÉS (Un assuré handicapé atteint d'une incapacité permanente d'au moins 80 % ou reconnu travailleur handicapé au sens de l'article L. 5213-2 du code du travail peut partir à la retraite) :

s'il est né en 1951 :
- à 55 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 123 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 103 trimestres,
- à 56 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 113 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 93 trimestres,
- à 57 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 103 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 83 trimestres,
- à 58 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 93 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 73 trimestres,
- à 59 ans s'il justifie d'une durée d'assurance d'au moins 83 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 63 trimestres,

s'il est né en 1952 :
- à 55 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 124 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 104 trimestres,
- à 56 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 114 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 94 trimestres,
- à 57 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 104 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 84 trimestres,
- à 58 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 94 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 74 trimestres,
- à 59 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 84 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 64 trimestres,

s'il est né en 1953 ou en 1954 :
- à 55 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 125 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 105 trimestres,
- à 56 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 115 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 95 trimestres,
- à 57 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 105 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 85 trimestres,
- à 58 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 95 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 75 trimestres,
- à 59 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée d'au moins 85 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée de 65 trimestres,

s'il est né à partir de 1955 :
- à 55 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée au moins égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 40 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée au moins à égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 60 trimestres,
- à 56 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée au moins égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 50 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée au moins à égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 70 trimestres,
- à 57 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée au moins égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 60 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée au moins à égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 80 trimestres,
- à 58 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée au moins égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 70 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée au moins à égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 90 trimestres,
- à 59 ans s'il justifie d'une durée d'assurance validée au moins égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 80 trimestres et d'une durée d'assurance cotisée au moins à égale à celle nécessaire pour le taux plein diminuée de 100 trimestres.
 
 

Les tribulations d'un petit Zèbre » La scolarisation d’un enfant précoce et surdoué (Scolarama, janvier 2011)

Les tribulations d'un petit Zèbre » La scolarisation d’un enfant précoce et surdoué (Scolarama, janvier 2011)

TV VENDEE : Des enfants handicapés en attente d’auxiliaire de vie scolaire

TV VENDEE : Des enfants handicapés en attente d’auxiliaire de vie scolaire
récurrent et scandaleux !

Euthanasie : l’état de nécessité : Poscriptum

Euthanasie : l’état de nécessité : Poscriptum
petite réflexion intéressante sur l'euthanasie

[DANS NEWSWEEK] En matière médicale, tout ce qu’on vous dit est faux, ou presque - Société - Nouvelobs.com

[DANS NEWSWEEK] En matière médicale, tout ce qu’on vous dit est faux, ou presque - Société - Nouvelobs.com
le problème de la fiabilité de l'information médicale et encore une fois le rôle malsain des labos et du fric en matière de santé publique

c1011021.pdf (Objet application/pdf)

c1011021.pdf (Objet application/pdf)
compte rendu de la table ronde sur la réforme de la dépendance de la commission des affaires sociales de l'assemblée

Un panel de zones de circulation particulières à disposition des aménageurs de la ville - Ministère du Développement durable

Un panel de zones de circulation particulières à disposition des aménageurs de la ville - Ministère du Développement durable
un site bien fait avec plein d'infos sur l'accessibilité

27/01/2011

La maison de l'autonomie - le portail internet de la gérontologie et du handicap - mon indignation

La maison de l'autonomie - le portail internet de la gérontologie et du handicap - mon indignation
inquiétant ! témoignage concernant l'attitude de certains médecins vis à vis de leurs patients en EHPAD

C Dans L'Air - Résumé - France5

C Dans L'Air - Résumé - France5
à écouter, le débat sur l'euthanasie

Lettre d'information du réseau Handicap - Economie solidaire et sociale - Tessolidaire

Lettre d'information du réseau Handicap - Economie solidaire et sociale - Tessolidaire

L'association Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir - FDFA et les éditions de l'Harmattan ont le plaisir de vous convier à la présentation de l'ouvrage

Violences envers les femmes : le NON des femmes handicapées

L'ADF plaide pour la convergence personnes âgées / personnes handicapées

L'ADF plaide pour la convergence personnes âgées / personnes handicapées 

mon comm : et moi aussi et parlons plutôt d'autonomie que de dépendance !

Dépendance 
Publié le mercredi 26 janvier 2011
Afin de préparer le futur débat sur le projet de loi relatif au cinquième risque - texte spécifique ou mesures dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2012 -, la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale a décidé de mener une série d'auditions sur ce thème. Elle a ouvert le débat, le 18 janvier, avec une audition conjointe, sous forme de table ronde, de l'Assemblée des départements de France (ADF) et de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA). Pierre Méhaignerie, le président de la commission des affaires sociales, explique cette audition commune par la volonté de pouvoir "véritablement faire le point sur les relations financières existant entre les départements et la CNSA, s'agissant notamment du financement de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA)".
La CNSA, "meilleure chose" arrivée au secteur depuis 2005
Si l'audition n'a pas apporté de révélations, elle permet néanmoins de mieux cerner les positions des uns et des autres. Pour Laurent Vachey, le directeur général de la CNSA, "on sent bien que, dans le débat qui s'engage, une des questions importantes portera sur cette configuration originale d'une politique animée par une caisse nationale répartissant des financements, mais mise en œuvre par des acteurs locaux confrontés à des contraintes financières extrêmement pesantes dans certains départements". Une affirmation d'autant plus pertinente que le directeur général de la CNSA n'a pas caché la forte dégradation du taux de compensation des dépenses assurées par les départements. De 50% environ pour l'APA - lors de la mise en place de la prestation -, il pourrait tomber aux alentours de 27%. De son côté, Luc Broussy, vice-président de la commission des politiques sociales et familiales de l'ADF, a souligné la nécessité de "ne pas céder au catastrophisme", du moins sur le plan démographique. Il a rappelé que la croissance du nombre de personnes âgées dépendantes devrait plutôt ralentir "jusqu'en 2030, date à laquelle pourrait intervenir une explosion", sauf avancée médicale majeure sur la maladie d'Alzheimer. Il a également entrepris un travail pédagogique auprès des députés, en essayant de lever le flou et les confusions qui entourent les notions de dépendance, de cinquième risque et de cinquième branche.
La réflexion de l'ADF sur la notion de dépendance l'a conduite d'ailleurs à reprendre le concept de la CNSA de "convergence sans confusion" entre la prise en charge des personnes âgées dépendantes et celle des adultes handicapés. Une dimension que Luc Broussy regrette de ne pas retrouver dans le rapport de Valérie Rosso-Debord sur la prise en charge de la dépendance. Le représentant de l'ADF a également souligné les inégalités de situation des départements en matière d'APA, les difficultés financières touchant essentiellement, pour des raisons sociodémographiques, les départements à dominante rurale et ouvrière. Vis-à-vis de la CNSA, Luc Broussy a affirmé que "la création de cette caisse est une des meilleures choses qui soient arrivées au secteur depuis 2005". Il souhaite toutefois introduire deux "modifications". La première concerne - dans l'esprit de la convergence - l'extension de la contractualisation actuelle entre CNSA et départements sur le handicap (autour des maisons départementales des personnes handicapées) à une contractualisation qui inclurait aussi les personnes âgées. La seconde porte sur la gouvernance de la CNSA. A défaut d'une remise en cause de la majorité de fait de l'Etat au sein du conseil d'administration (avec les personnalités qualifiées nommées par le gouvernement), l'ADF estime en effet que l'"on pourrait à tout le moins réfléchir à la constitution, à côté d'un comité d'orientation auquel participeraient toutes les associations, d'un conseil réunissant l'Etat, les conseils généraux et les parlementaires, qui serait vraiment responsable du financement et de la caisse".
L'ADF veut "arrêter les compteurs"
Le débat de qualité qui s'est engagé ensuite au sein de la commission a permis de faire ressortir un certains nombre de questionnements, mais aussi de possibles points d'accord. Le rapprochement entre personnes âgées et personnes handicapées suscite ainsi un assez large accord avec, par exemple, l'hypothèse de créations de maisons de l'autonomie, intégrant notamment les Clic (centres locaux d'information et de coordination gérontologique). Les membres de la commission sont en revanche plus dubitatifs sur l'articulation entre la CNSA et les agences régionales de santé (ARS), dont la montée en puissance ne fait que commencer.
La question du financement de la dépendance est, pour sa part, nettement moins consensuelle - Marisol Touraine a notamment rappelé "que le groupe socialiste refuse catégoriquement le recours à une assurance privée, sous quelque forme que ce soit, pour financer en tout ou partie la prise en charge de la perte d'autonomie" - et a fait l'objet de plusieurs questions, à l'égard de la CNSA comme de l'ADF.
Sans se prononcer sur les modalités de financement à retenir, le directeur général de la CNSA a fourni des chiffres significatifs sur le rendement de différentes mesures envisageables : 2,3 milliards d'euros pour une seconde journée de solidarité, 1 à 1,7 milliard d'euros (selon les modalités retenues) pour l'alignement du taux de CSG des retraités imposables sur celui des actifs et 700 à 800 millions d'euros pour l'extension de la contribution de solidarité autonomie (qui pèse aujourd'hui sur les seuls salaires) aux revenus du patrimoine. Sans écarter pour autant cette solution, Laurent Vachey a également indiqué que "l'instauration d'une assurance dépendance obligatoire pour les personnes de plus de 50 ans [...] ne pourrait être une solution qu'à échéance de trente ans, car les assureurs ne couvriront pas les personnes actuellement en situation de perte d'autonomie, le principe même de l'assurance interdisant de couvrir un risque déjà advenu". Pour sa part, Luc Broussy est resté prudent sur les pistes envisageables, en indiquant que sur "la question du financement, personne n'a envie de sortir du bois trop rapidement". Le vice-président de la commission des politiques sociales et familiales de l'ADF a toutefois indiqué que les départements ne remettent pas en cause les quatre milliards d'euros qu'ils versent actuellement pour le financement de la dépendance, mais qu'ils souhaitent "arrêter les compteurs, afin de rééquilibrer leur part avec celle de la solidarité nationale, ce qui permettrait d'augmenter d'un peu plus de deux milliards d'euros la somme globale consacrée à la dépendance". Sur la question des coûts de prise en charge de la dépendance, il a également évoqué des pistes possibles sur les maisons de retraite ou les services à domicile avec, pour ces derniers, la proposition de passage à un budget global. Enfin, en dépit de la question posée par un député, Luc Broussy n'a rien dit sur un éventuel recours à l'assurance. Une façon comme une autre de ne pas "sortir du bois" sur un sujet qui divise...
Jean-Noël Escudié / PCA
Claudy Lebreton : un seul et même débat
"Je préfère que l'on parle d'autonomie plutôt que de dépendance", relève Claudy Lebreton, le président de l'ADF. S'exprimant ainsi ce 26 janvier à l'occasion des voeux de son association, Claudy Lebreton estime en tout cas que le débat national sur la dépendance initié par le chef de l'Etat est "un débat légitime" et s'est félicité que la ministre Roselyne Bachelot ait accepté d'y inclure "un débat philosophique" sur des questions telles que le devenir des personnes âgées dans notre société. Il a également souligné que les présidents de départements comptent bien participer aux travaux conduits par le gouvernement (voir notre article du 4 janvier : "Les instances du débat sur la dépendance se mettent en place"), sachant que la série de rencontres organisées par l'ADF elle-même (les "Assises de l'autonomie et de la dépendance", dont le deuxième atelier devait justement avoir lieu ce 26 janvier) a été envisagée pour nourrir la contribution des départements. "Il ne s'agit pas d'avoir deux débats côte à côte", a insisté Claudy Lebreton.
Claire Mallet

Handicap, tutelle, loi sur le handicap - Actualités - Forum - Tessolidaire

Handicap, tutelle, loi sur le handicap - Actualités - Forum - Tessolidaire
Contre les discriminations : un choix de société (27/01/2011)
soutien à la Halde !

26/01/2011

VOTRE AVIS NOUS INTERESSE - Accessible pour moi... Mobilite reduite

VOTRE AVIS NOUS INTERESSE - Accessible pour moi... Mobilite reduite

La Sociale - A nouveau sur les services publics

La Sociale - A nouveau sur les services publics
à lire car sans service public partout, pour tous, réformé, il n'a plus plus de santé publique ni de prise en charge du handicap

La thérapie anti-stress au service du cœur | Le Quotidien du Medecin

La thérapie anti-stress au service du cœur | Le Quotidien du Medecin

Conflits d’intérêts : le rapport Sauvé préconise une loi de moralisation audacieuse | Le Quotidien du Medecin

Conflits d’intérêts : le rapport Sauvé préconise une loi de moralisation audacieuse | Le Quotidien du Medecin
pas suffisant à mon avis : ilfaut un vrai service public d'expert complétement indépendant des labos qu'il faut aussi virer de la formation des médecins : encore faut-il s'en donner les moyens, mais à terme de vrais économies...

Le courrier des maires - Guides - Une ville accessible aux handicapés avant 2015, un vrai défi pour les élus locaux

Le courrier des maires - Guides - Une ville accessible aux handicapés avant 2015, un vrai défi pour les élus locaux

Inscrire les services publics dans la constitution

Inscrire les services publics dans la constitution
j'aime pas vauzelle (à priori) mais son idée me plait

Conférence sur : «la Prise En Charge de la Santé Buccodentaire des Personnes en Situation de Handicap» à toulouse

L’APEIHSAT organise une Conférence sur :
«la Prise En Charge de la Santé Buccodentaire des Personnes en Situation de Handicap»
Jeudi 24 Février 2011 19h -22h30

SALLE NOUGARO, Quartier des Sept-Deniers 20 chemin de Garric 31200 TOULOUSE

Conférence du Dr BORY Eric-Nicolas, Chef du Service d’Odontologie CH le Vinatier, Président du Réseau SBDH-RA & de SOHDEV
« Un programme spécifique pour une prise en charge globale et à long terme de la santé bucco-dentaire des personnes en situation de handicap »:
-La Problématique de l’accès aux soins de ces personnes
Les Initiatives en France et en Région Rhône-Alpes
Le Programme de Santé Orale
-La Recherche –Action «Autisme et Santé Orale» (présentation des outils)
L’intervention du Dr BORY sera suivie par les présentations de l’UFSBD (Union Française des Soins Buccodentaires) et de Handident avec unedescription des réseaux, des initiatives et des actions menées sur la région Midi Pyrénées.

Réservations auprès de l’APEIHSAT avant le 20 Février 2011 (Places limitées, entrée sur inscription) Tel; 05 61 93 64 98 Port; 06 13 07 57 10 ou par Mail : capted@orange.fr

« Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient » : une nouvelle version de la FAF ! - AgoraVox le média citoyen

« Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient » : une nouvelle version de la FAF ! - AgoraVox le média citoyen

Lettre d'information du réseau Santé - démocratie sanitaire - Tessolidaire

Lettre d'information du réseau Santé - démocratie sanitaire - Tessolidaire
Hépatite C : un test pour prédire l'efficacité du traitement standard. (26/01/2011)

Lettre d'information du réseau Santé - démocratie sanitaire - Tessolidaire

Lettre d'information du réseau Santé - démocratie sanitaire - Tessolidaire
accès au Thesaurus sur les interactions médicales à éviter

Lettre d'information du réseau Santé - démocratie sanitaire - Tessolidaire

Lettre d'information du réseau Santé - démocratie sanitaire - Tessolidaire
Le DMP dossier médical personnel arrive !

Lettre d'information du réseau Santé - démocratie sanitaire - Tessolidaire

Lettre d'information du réseau Santé - démocratie sanitaire - Tessolidaire
l'Hopital sous haute tension : suites d'un rapport au vitriol : quand va cesser la case du service public de la santé ???!!!

0000.pdf (Objet application/pdf)

0000.pdf (Objet application/pdf)
Rapport de l'IGAS : Mission relative aux questions de tarification et de solvabilisation des services d’aide à domicile en direction des publics fragiles
mon comm : lire la conclusion pages 57 et 58 : en résumé, quand va-t-ton se donner les moyens ?

S’indigner ne suffit pas : 51 organisations associatives et syndicales débattent des propositions sur Droits et Citoyenneté - Résistance Inventerre

S’indigner ne suffit pas : 51 organisations associatives et syndicales débattent des propositions sur Droits et Citoyenneté - Résistance Inventerre
il nous faut tous nous regrouper pour recréer , réinventer une société juste et équitable et qui respecte les plus fragiles

Bloqué chez lui faute d'ascenseur - Europe1.fr - France

Bloqué chez lui faute d'ascenseur - Europe1.fr - France
un handi en fauteuil bloqué : bailleurs et ascensoristes se renvoient la balle de manière indécente !

25/01/2011

.les cordées

.
les cordées : rompre la solitude par l'écriture .... : à découvrir

Handicap : la pédagogie pour les troubles de l’apprentissage, un guide à télécharger. | HANDIMOBILITY

Handicap : la pédagogie pour les troubles de l’apprentissage, un guide à télécharger. | HANDIMOBILITY
intéressant, à conseiller aux enseignants ! et parents concernés !

Un acte Européen sur l’accessibilité en 2012 pour une Europe « handicap admis » dès 2020 ? | HANDIMOBILITY

Un acte Européen sur l’accessibilité en 2012 pour une Europe « handicap admis » dès 2020 ? | HANDIMOBILITY
très bon article

Avis du HCSP : les deux vaccins HPV sont équivalents | Le Quotidien du Medecin

Avis du HCSP : les deux vaccins HPV sont équivalents | Le Quotidien du Medecin
encore un exemple du mélange malsain entre labos pharmaceutiques et santé publique : le vaccin Gardasil ne devrait pas être proposé à une tranche d'âge aussi large (cf études sur le sujet) mais comme ça, ca fait plus de ventes !

TOULOUSE CHASSE SES SDF DU CENTRE VILLE Pour le maintien de la Halte-Santé au centre ville de Toulouse

COMMUNIQUE de PRESSE du Comité de Défense de l'Hôpital Public : je soutiens !

Mardi 25 janvier 2011

COMMUNIQUE DE PRESSE
TOULOUSE CHASSE SES SDF DU CENTRE VILLE
Pour le maintien de la Halte-Santé au centre ville de Toulouse

La Halte Santé est un établissement médico-social qui accueille des personnes vivant à la rue (le plus souvent en situation de grande précarité) pour des séjours de soins et de repos.
Créée en 1995 à l’initiative de Médecin du Monde et d’Emmaüs, ce service de 11 lits est géré depuis 2006 par le Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse (CHU).
Le local actuel (situé au 6 rue des jumeaux, près de la gare Matabiau) ne peut plus assurer la sécurité de ses résidents et de son équipe. En effet, il ne correspond plus aux normes de sécurité incendie. De plus, il n’est pas accessible aux personnes à mobilité réduite et est trop exigüe pour accueillir les lits supplémentaires nécessaires pour répondre au besoin des publics
accueillis.

Dès 2006, le CHU s’est engagé à reloger la Halte-Santé sur le site de l’hôpital La Grave et Claudius Regaud. Entre temps, la nouvelle direction du CHU s’est opposée à cette installation en refusant d’accueillir des « patients couchés » sur La Grave. S’ensuit alors une période de recherche d’un local adapté en centre ville qui n’aboutira pas. Il semble impossible à quiconque de trouver aujourd’hui à Toulouse des locaux pour prendre soin des plus fragiles de nos concitoyens.
Plus récemment et dans l’urgence, la direction du CHU choisi de déménager la Halte Santé dans un local privé sur le parking du centre commercial de l’hôpital Purpan. Cette décision pose plusieurs problèmes :
- elle videra de son sens l’essence même de ce projet destiné à l’accueil des publics en grande précarité dont le mode de vie se situe en centre ville,
- elle ne permet pas la sécurisation rapide des hébergés et du personnel (6 à 9 mois de travaux),
- elle alourdit le budget déjà précaire de la Halte-Santé par des dépenses inutiles d’investissement (travaux importants à réaliser) et de fonctionnement (loyer onéreux).

Cette décision qui ne semble pas préoccuper la Mairie de Toulouse vient de plus dans une conjoncture difficile à Toulouse pour les personnes vivant à la rue en situation de grande précarité. Les lieux d’accueil qui leur étaient destinés, sont éloignés du centre ville, comme en témoigne la fermeture récente des centres d’Hébergement d’Urgence « Lapujade » et
de « l’Hôtel Dieu », avec leur regroupement sur la zone Thibaut. Or, l’expérience des personnels travaillant auprès de ces publics depuis plus de 10 ans, montre que culturellement et historiquement, les lieux et modes de vie de ces personnes se situent en centre ville.

Et pourtant, les locaux qui avaient été choisis existent toujours en centre ville, dans l’enceinte de l’hôpital La Grave. Il s’agit du bâtiment Sainte Germaine qui a un accès direct sur la rue Réclusane. Ces locaux répondent parfaitement aux besoins de la Halte Santé en termes de sécurité, de situation et de coût.

Les personnes ayant fait l’expérience de la rue doivent-elles donc subir des décisions discriminatoires alors même qu’elles subissent déjà de plein fouet les effets de la vie à la rue sur leur état de santé ? Le site de l’Hôpital La Grave doit-t-il rompre avec sa tradition d’accueil des plus démunis ?

Ces publics ont une espérance de vie de 47 ans en moyenne. Ce sont des personnes fragiles, vulnérables, vieillies précocement et qui nécessitent des prises en charges spécifiques. La délocalisation de la Halte Santé du centre ville serait un nouveau mauvais coup porté à une population déjà bien mise à mal. Elle questionne de plus la politique de la ville à l’égard de ses exclus.

Nous vous invitons à un rassemblement devant l’entrée de l’hôpital La Grave
Le vendredi 28 janvier à 11h30

Manifestation de soutien aux usagers et aux salariés
Présentation du dossier à la Presse

Contact : Yves Cévènes, salarié syndicat CGT : 06 84 52 97 56
Philippe Arnal, du Comité de Défense de l’Hôpital Public : 06 77 11 35 50

Le handicap se fait une placeà l'école - 20minutes.fr

Le handicap se fait une placeà l'école - 20minutes.fr

Calomniez, il en restera toujours quelque chose | www.aides.org

Calomniez, il en restera toujours quelque chose | www.aides.org
la réponse de Aides à l'article du Parisien : à suivre

L’association Aides dans la tourmente

L’association Aides dans la tourmente
dommage pour les bénévoles, alors que certains semblent avoir profité de l'assoc : est épinglé Christian Saout ex président qui s'occupe maintenant du CISS, et qui semble avoir oublié que le bénévolat n'est pas rétribué directement ou indirectement....
Sur le principe marre des opportunistes qui disqualifient le travail honnête de beaucoup d'autres

Euthanasie : retour d’un vieux débat - Libération

Euthanasie : retour d’un vieux débat - Libération
pour le droit du patient de choisir l'euthanasie, les soins palliatifs ou l'acharnement mais le milieu médical n'a pas à imposer sa morale

24/01/2011

La Gazette Santé Social - Actualité - L'actu - Jean-Marie Barbier, nouveau président de Handéo

La Gazette Santé Social - Actualité - L'actu - Jean-Marie Barbier, nouveau président de Handéo
handéo, enseigne de service à domicile pour les PH

Pour la Science - Actualité - La perception de soi distordue par une anesthésie locale

Pour la Science - Actualité - La perception de soi distordue par une anesthésie locale

Osez l'extraordinaire, journées Familiales 2011 à Jumièges en Seine Maritime près de Rouen

Osez l'extraordinaire, journées Familiales 2011 à Jumièges en Seine Maritime près de Rouen
par l'UNAPEDA pour les déficients auditifs

Exclusif La campagne choc des aveugles de France - A la une - Midi Libre

Exclusif La campagne choc des aveugles de France - A la une - Midi Libre
avec une photo de Sarkozy en aveugle : si c'était le cas, c'est sûr que l'accessibilité avancerait plus vite !

Le Figaro - Flash Actu : Campagne choc en faveur des aveugles

Le Figaro - Flash Actu : Campagne choc en faveur des aveugles
les aveugles et malvoyants se rebiffent et ils ont bien raison !

23/01/2011

Enquête sur le sous-titrage pour sourds et malentendants sur les chaînes de télévision française

Enquête sur le sous-titrage pour sourds et malentendants sur les chaînes de télévision française
venez participer !

Commerce : un fauteuil au service des handicapés - LaRépubliquedesPyrénées

Commerce : un fauteuil au service des handicapés - LaRépubliquedesPyrénées
intéressant pour les personnes qui marche avec difficultés ou se fatiguent vite

L'ASIPAG lance un Label relatif aux Usages des Technologies pour l'Autonomie

L'ASIPAG lance un Label relatif aux Usages des Technologies pour l'Autonomie

Agevillage: Fin de vie, Vivre et mourir comme un homme : guide pratique des soins palliatifs

Agevillage: Fin de vie, Vivre et mourir comme un homme : guide pratique des soins palliatifs

Journal parlé Vocale Presse : l'accès à la presse écrite pour déficients visuels aveugles et malvoyants

Journal parlé Vocale Presse : l'accès à la presse écrite pour déficients visuels aveugles et malvoyants
intéressant mais hors de portée sur le plan financier d'une majorité d'aveugles ou malvoyants

Affections de longue durée : toilettage des critères d'admission dans le dispositif et nouveau dispositif d'exonération post-ALD

extrait de annuaire-secu.com

Affections de longue durée : toilettage des critères d'admission dans le dispositif et nouveau dispositif d'exonération post-ALD
Décret n° 2011-77 du 19 janvier 2011 portant actualisation de la liste et des critères médicaux utilisés pour la définition des affections ouvrant droit à la suppression de la participation de l'assuré, JO du 21/01/11
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000023456250


Allez voir l'annexe du décret pour trouver les nouveaux critères : pas une avancée pour les malades, et même de pire en pire

UPS - Mission handicap : un accueil sur mesure

UPS - Mission handicap : un accueil sur mesure
la mission handicap de la fac de sciences de Toulouse
mon comm : handi, faites des études supérieures ! et Etat et collectivités, aidez les vraiment !

Réforme des retraites. Les projets de décrets sur la pénibilité transmis aux partenaires sociaux

mon comm : c'est déjà vérouillé et pas au bénéfice des salariés !
 
dans annuaire-secu.com
 
Réforme des retraites. Les projets de décrets sur  la pénibilité transmis aux partenaires sociaux
 
21/01/11 - Le ministère du Travail a transmis aux partenaires sociaux quatre projets de décrets qui précisent notamment comment la pénibilité sera prise en compte pour donner droit à une retraite anticipée (à 60 ans au lieu de 62 ans). Ces textes sont suceptibles d'évoluer à la marge, en fonction des observations des syndicats et du patronat, mais l'essentiel est désormais arrêté. Ce droit sera attribué automatiquement, comme prévu dans la loi, pour ceux qui justifient d'un taux d'incapacité permanente d'au moins 20 % reconnu au titre d'une maladie professionnelle (ou d'un accident du travail ayant entraîné des lésions identiques). Le gouvernement avait ajouté dans la loi une possibilité de départ anticipé quand ce taux est compris entre 10 % et 20 %. Le salarié doit alors passer devant une commission pluridisciplinaire qui accorde ou non le droit au départ anticipé. L'un des décrets fixe à 17 ans la durée d'exposition à un facteur de risque dont devra justifier un assuré ayant un taux d'incapacité compris dans cette fourchette. Un autre texte précise que cette condition de durée d'exposition se rapporte à trois types de facteurs : les contraintes physiques marquées (port de charges lourdes, postures pénibles), l'environnement agressif (bruit, température,...) ou encore les rythmes de travail (travail de nuit notamment) sans prévoir de seuil pour ces facteurs laissant une marge d'appréciation aux commissions pluridisciplinaires qui examineront les dossiers. Commissions dont la composition est également précisée par décret : le directeur de la caisse de retraite, l'ingénieur-conseil chargé de la prévention au sein de la caisse, le médecin-conseil régional de l'assurance maladie, le praticien hospitalier du comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles et le directeur régional des entreprises. Enfin, l'un des projets de décret fixe une liste non exhaustive des documents qui pourront être pris en compte (bulletins de paie, contrats de travail, fiche d'exposition...). Selon les estimations du gouvernement, quelque 30 000 personnes par an pourraient bénéficier au total d'un départ anticipé pour pénibilité.
> http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201087999016.htm
> Les quatre projets de décret (sur la mise en oeuvre de la retraite anticipée à raison de la pénibilité au travail, relatif à la définition des facteurs de risques professionnels, sur les dispositions réglementaires d'application, sur le Fonds national de soutien relatif à la pénibilité) :
http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/document/0201088358301.htm

(Pétition) STOP aux restrictions du droit au séjour pour soins ! | www.aides.org

(Pétition) STOP aux restrictions du droit au séjour pour soins ! | www.aides.org
à signer

22/01/2011

Dépendance : le Premier ministre confie une mission à Jean-Paul Delevoye

mon comm : Mr Delevoy, écouterez vous les associations et les usagers concernées, c'est à dire tous ceux concernés par la perte d'autonomie quel que soit l'âge, d'abord en respectant la loi de 2005, ou suivrez vous le rapport Rosso-Debord dont chacun sait qu'il s'agit du programme du gouvernement pour livrer le secteur au moins petit à petit aux assureurs ? en laissant les plus fragiles sur le bas côté ? !!!

extrait de Localtis.info

Dépendance : le Premier ministre confie une mission à Jean-Paul Delevoye
Personnes âgées 
Publié le jeudi 20 janvier 2011
Alors même que Nicolas Sarkozy évoquait une nouvelle fois ce 20 janvier, dans le cadre de ses vœux aux personnels de santé, dans l'Indre, sa réforme de la dépendance, François Fillon a annoncé avoir confié au nouveau président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Jean-Paul Delevoye, le soin de préparer un rapport sur le sujet. Rapport qui devra être finalisé d'ici le mois de juin.
Dans un courrier adressé à Jean-Paul Delevoye, rendu public par Matignon, le chef du gouvernement souhaite "recueillir [son] avis sur les principaux enjeux auxquels soir faire face notre système de prise en charge de la dépendance et sur les différentes évolutions envisageables". Il lui demande ainsi d'analyser "la place respective et le rôle des différentes formes de solidarités notamment familiales, territoriales ou nationale pour faire face aux situations de dépendance". Il l'invite également à se prononcer sur "la répartition du financement des dépenses liées à la dépendance entre les différents acteurs publics, les assureurs privés et les familles", tant en analysant "la situation actuelle" qu'en anticipant "les évolutions prévisibles pour les années à venir".
Le Premier ministre insiste aussi auprès du président du CESE sur la nécessité de "prendre en compte le coût des mesures" qu'il serait "amené à proposer" et "les modalités de financement" préconisées.
Lors de son déplacement dans l'Indre, si Nicolas Sarkozy a insisté sur l'urgence de la réforme dont les premières mesures doivent être adoptées à l'automne, il n'a cette fois encore privilégié aucune piste, notamment sur la question "très difficile" du financement. "Il faudra des moyens supplémentaires. Est-ce que ce sera l'assurance ? Est-ce que ce sera plus de travail ? Est-ce que ce sera des prélèvements ?", a-t-il lancé, "le débat éclairera la décision des uns et des autres, mais la décision il faudra la prendre". De quoi faire entendre, en tout cas, que la phase de concertation qui s'ouvre tout juste - avec, notamment, la mise en place de quatre groupes de travail début janvier et l'annonce de débats en région – ne démarre pas avec des réponses déjà ficelées.

Lancement de l'expérimentation du label "Destination pour tous"

sur localtis.info

Lancement de l'expérimentation du label "Destination pour tous"

Handicap / TourismePublié le mercredi 19 janvier 2011
Le 17 janvier, Roselyne Bachelot-Narquin et Frédéric Lefebvre ont lancé l'expérimentation "Destination pour tous". Ce label touristique pour les personnes handicapées distingue des territoires dans leur ensemble, autour du concept d'une "offre touristique globale".
Dans la jungle des labels touristiques pour les personnes handicapées (voir notre article ci-contre du 3 août 2009), une nouvelle signature est en train de se concrétiser. Le 17 janvier, Roselyne Bachelot-Narquin et Frédéric Lefebvre ont en effet lancé l'expérimentation du label "Destination pour tous". Celui-ci avait été annoncé, de même que le lancement d'un appel à candidatures, en juillet 2010, par Nadine Morano et Hervé Novelli. Il succédait alors au label "Handi-vacances", annoncé par Nadine Morano exactement un an plus tôt et qui ne semble pas avoir eu de suites... Il est vrai que son intitulé n'était guère incitatif, voire contraire à l'objectif d'accessibilité généralisée posé par la loi Handicap du 11 février 2005. Pour ne rien arranger, "Destination pour tous" ne se substituera pas aux labels existants, mais coexistera au contraire avec le plus connu d'entre eux - "Tourisme et Handicap"-, dont la création remonte à 2001. Cette dichotomie est justifiée par une approche légèrement différente : "Tourisme et Handicap" - qui compte déjà 4.200 sites labellisés - vise plutôt des équipements et des sites, alors que "Destination pour tous" distinguera plutôt des territoires dans leur ensemble, autour du concept d'une "offre touristique globale".
Une approche territoriale
Le nouveau label repose sur la combinaison de trois critères. Tout, d'abord, "être un territoire éligible, en répondant à la définition suivante : périmètre géographique délimité, ayant une vocation touristique et privilégiant la qualité de vie des touristes, porté par une autorité légitime". Ensuite, fédérer et mobiliser les différents acteurs en mettant en place un comité de pilotage, une charte d'engagement, une stratégie de communication et une politique de formation à l'accueil des personnes handicapées. Enfin, il faudra, pour bénéficier du label, garantir des "prestations essentielles" en matière touristique (hébergement, restauration, équipements et activités...), mais aussi en matière de services de la vie quotidienne (commerces, services publics, services de soins, d'aide et d'accompagnement...), de voirie et de transports (cheminements, transports en commun, stationnements réservés...).
Pour mettre en place le label, les deux ministères concernés avaient lancé un appel à candidatures en septembre dernier, en vue de retenir cinq territoires pour expérimenter "Destination pour tous". Vingt-et-une collectivités se sont manifestées. La commission nationale du label, réunie le 26 novembre, a proposé aux ministres une première liste mêlant territoires urbains, littoraux et ruraux. Ceux-ci ont finalement retenu six sites : Angers, Balaruc-les-Bains (Hérault), Bordeaux, le parc naturel régional du Morvan, le Pays cathare (canal du Midi et canal de la Robine) et Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Ces territoires vont expérimenter le label durant cinq mois - ce qui semble un peu court et n'inclut pas les prochaines vacances d'été - " afin de pouvoir procéder au déploiement du label dès le deuxième semestre 2011".

Jean-Noël Escudié / PCA

Alzheimer : mille euros de reste à charge pour les aidants familiaux

le détail de l'enquête de France alzheimer

Alzheimer : mille euros de reste à charge pour les aidants familiaux

DépendancePublié le vendredi 14 janvier 2011
Après en avoir présenté oralement les premières tendances (voir notre article ci-contre du 21 décembre 2010), l'association France Alzheimer publie les résultats détaillés de son étude socio-économique "Prendre en soin les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer : le reste à charge". L'étude porte sur un échantillon de personnes atteintes de cette maladie ou de troubles apparentés, mais ses résultats sont valables sur l'ensemble du champ de la dépendance, dont la maladie d'Alzheimer constitue l'une des principales composantes. Elle s'appuie sur une double source : une enquête par entretien auprès de 88 aidants familiaux réalisée dans cinq départements (Aisne, Alpes-Maritimes, Essonne, Indre-et-Loire et Lot) et un questionnaire en ligne auquel ont répondu 378 aidants.
570 euros de reste à charge à domicile, 2.300 en établissement
Le principal enseignement de l'étude est que "le reste à charge financier total du couple aidant-aidé s'établit en moyenne autour de 1.000 euros par mois" (le montant exact étant de 1.050 euros). Ce chiffre est à rapprocher du montant moyen de la pension de droit direct, qui s'élevait à 1.095 euros en 2007. Cette moyenne de 1.000 euros est calculée sur toutes les situations possibles, que l'aidant soit le conjoint ou un enfant et tous modes d'hébergement confondus (domicile et établissement). Seule atténuation éventuelle de ce chiffre de mille euros : l'étude ne prend pas en compte les éventuelles aides fiscales dont peuvent bénéficier les personnes âgées dépendantes (réductions d'impôt pour l'emploi d'une personne à domicile, pour frais d'établissement d'une personne âgée dépendante ou pour les familles en cas de versement d'une pension au titre de l'obligation alimentaire).
De façon logique, le montant du reste à charge croît avec le degré de dépendance. Pour un couple aidant et malade, il est ainsi de 699 euros dans le cas d'une personne classée en GIR 3 ou 4 et de 1.635 euros dans le cas d'un GIR 1 ou 2. Pour une personne malade seule, ces chiffres sont respectivement de 1.143 et 1.493 euros. Tous degrés de dépendance confondus, le montant moyen du reste à charge demeure pratiquement identique dans le cas d'une personne malade seule et d'une personne malade et son aidant (respectivement 1.180 et 1.042 euros). L'écart le plus important apparaît selon le mode d'hébergement, avec 570 euros de reste à charge à domicile et 2.300 euros en établissement. Cet écart considérable (ratio de un à quatre) n'est pas étonnant, puisqu'il correspond à l'impact du travail gratuit effectué par l'aidant familial. Mais il explique la difficulté à laquelle sont confrontées les familles qui souhaitent trouver une solution en établissement. Il est donc difficile de faire la part entre le choix volontaire de prendre en charge un proche dépendant et le choix contraint par des nécessités économiques.
Un "coût" total de 3.580 euros
La seconde partie de l'étude est consacrée à la décomposition des coûts et à la valorisation du travail des aidants familiaux. Ainsi, il apparaît que les principales dépenses inhérentes à la "prise en soins" à domicile d'une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer sont liées à l'intervention d'une auxiliaire de vie (dépense mensuelle de 469 euros, présente chez 52% des personnes de l'échantillon), à l'accueil de jour et l'hébergement temporaire (279 euros et 50%), à la participation à l'entretien de la maison (183 euros et 39%) et aux protections contre l'incontinence (102 euros et 58%). Face à ces dépenses, le montant moyen des aides déclarées par les aidants de l'échantillon est de 411 euros par mois, constitués essentiellement de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) dans la mesure où il n'existe pas d'aide spécifique à la maladie d'Alzheimer. Par ailleurs, l'étude montre que l'aidant familial consacre en moyenne 6h30 par jour à la personne prise en charge, avec des écarts importants selon le degré de dépendance et le stade d'avancement de la maladie. Il s'agit, en l'occurrence, de temps de travail et non pas de temps de présence. Lorsque la personne est hébergée en établissement, l'aidant lui consacre néanmoins encore 1h30 à 2h30 de temps de travail par jour. Les activités assurées par l'aidant son très variées. Les principales concernent toutefois la préparation des repas (73% de citations par les aidants de l'échantillon), la surveillance diurne (56%), l'aide à la prise des repas (48%), l'entretien de la maison (47%), l'accompagnement lors de sorties et dans les transports (44%), les tâches administratives (42%) et l'aide à la toilette (40%). Lorsque la personne est hébergée en établissement, les principales activités assurées par l'aidant concernent les tâches administratives (36% de citations), les stimulations cognitives (12%), l'aide à la prise des repas (12%) et l'accompagnement lors des sorties et dans les transports (8%). Le temps d'activité de l'aidant auprès d'un malade d'Alzheimer à domicile peut être valorisé à 3.000 euros par mois. L'étude arrive à ce chiffre en valorisant les 6h30 quotidiennes de travail sur la base de la rémunération que percevrait une auxiliaire de vie professionnelle (16 euros de l'heure). Si l'on y ajoute les 580 euros de reste à charge dans le cas d'un maintien à domicile, le "coût" total assumé par l'aidant est ainsi de 3.580 euros par mois.

Jean-Noël Escudié / PCA

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